Ce blog ne représentequ'une infime partie du site génétal de la DÉMOSOPHIE

samedi 12 décembre 2015

Le retour au franc

Jacques Sapir: Si la France revenait au Franc, « une baisse du chômage des 2/3 constitue une prévision robuste et crédible. »

L’un des rares économistes français à l’esprit indépendant, passe en revue la situation financière et économique de la France pour le cas où celle-ci quitterait l’eurozone. Les mensonges des europhiles adeptes d’une France vassale du Nouvel Ordre Mondial, tels Sarkozy ou Hollande, qui hurlent en coeur pour prédire la catastrophe pour le cas où la France reviendrait au Franc, sont mis à nu:
La question des dettes ne pose pas de problèmes 
Pour ce qui est des dettes, on sait aussi que la dette souveraine de nombreux pays, dont la France à 97%, est émise dans le droit de ce pays. Or, la règle, établie par la cour d’arbitrage internationale depuis la fin des années 1920, est que tout titre émis dans le droit du pays « x » doit être payé dans la monnaie du pays « x », quel que soit le nom de cette monnaie. C’est ce que l’on appelle la lex monetae. Cela veut dire que si la France décide de quitter l’euro et de revenir au franc, 97% de notre dette publique sera immédiatement et sans contestation possible, re-dénomminée en franc. De ce point de vue, le seul pays qui serait obligé de faire défaut sur sa dette souveraine serait la Grèce car plus des deux-tiers de sa dette sont émis en droit étranger. Parler soit d’une multiplication importante pour la dette française comme le font Nicolas Sarkozy et les dirigeants de l’ex-UMP, ou au contraire parler d’un possible défaut, comme le fait J-L Mélenchon, n’a aucun sens. Pour les uns, cela relève du mensonge pur et simple, et pour Mélenchon de son incompréhension du mécanisme des dettes publiques.
L'euro (€), la monnaie de l'union économique formée au sein de l'Union européenne
En ce qui concerne les dettes privées, une grande part de ces dernières est placée auprès d’acteurs français. Il n’y aura aucun problème en cas de sortie de l’euro. Pour les entreprises multinationales françaises, une large part de leur endettement est souscrite par des non-résidents. Mais, ces entreprises font aussi une large part de leur chiffre d’affaires hors de France. Dès lors, en cas de sortie de l’euro accompagnée d’une dépréciation du « nouveau » Franc, les dettes seraient réévaluées mais le chiffre d’affaires (et les profits) aussi! Les calculs qui ont été fait par diverses banques indiquent que les deux mécanismes s’équilibrent.
La question des flux financiers ne pose pas davantage de problèmes
Il reste le problème des flux financiers entre pays, qu’ils soient dans la zone euro ou hors de la zone euro. Techniquement, les grandes banques internationales se sont déjà préparées à la perspective d’une dissolution de l’euro. Il conviendrait de suspendre les transactions financières pour une durée de 24 à 72 heures, puis de limiter les mouvements à très court terme (qui relèvent essentiellement de la spéculation) pour une période d’environ six mois.
 Logo de euro
L’image d’une sortie de l’euro provoquant un « désastre » relève donc de la fiction. C’est une fiction dont les partisans de l’euro se servent pour alimenter des peurs au sein des populations. Il faut remarquer que ce sont les mêmes qui accusent Marine le Pen et le Front National de jouer sur la peur qui, en réalité, tiennent un véritable discours de peur et cherchent à provoquer une réaction de panique chez les électeurs. Ce point est important. En fait, la peur semble bien devoir être le seul argument que les partisans de l’euro peuvent encore utiliser devant la faillite complète de l’Union économique et monétaire.
Les nombreux avantages d’une sortie de l’euro
Maintenant, il faut être aussi conscient que les avantages d’une sortie de l’euro, et ces avantages sont nombreux que ce soit dans le domaine de la croissance, de l’emploi, mais aussi du rétablissement des comptes publics, seront affectés par les conditions dans lesquelles se fera cette sortie et par la politique qui sera conduite une fois la question de l’euro résolue. L’euro peut disparaître par une décision concertée, commune à l’ensemble des pays de la zone, comme il peut disparaître par une succession de crises donnant lieu à des sorties, chacune aggravant la crise et conduisant un nouveau pays à sortir à son tour. Cette hypothèse est la plus défavorable.
Mais, même dans cette hypothèse, et en supposant que la France soit l’un des derniers pays à sortir de l’euro, notre situation serait meilleure que la situation actuelle. Ensuite, un point important sera celui des politiques à mettre en place une fois la sortie de l’euro effectuée. Il est clair que si le gouvernement alors en place donnait la priorité au désendettement de la France, et cherchait à maintenir le taux de change à un niveau surévalué, les avantages de la sortie de l’euro seraient très faibles. Mais ils ne seraient pas nuls. Par contre, avec une politique rompant de manière décisive avec les politiques menées depuis ces 25 dernières années et donnant une priorité à l’investissement, les avantages d’une sortie de l’euro seraient impressionnants. C’est pourquoi j’ai toujours dit que la sortie de l’euro était une condition nécessaire, c’est à dire que tant que nous restons dans l’euro rien n’est possible, mais nullement une condition suffisante. Ce point est important car, trop souvent, nombre des adversaires de l’euro présentent la sortie de la monnaie unique comme une panacée, ce qu’elle n’est pas.
Euro
Quand fut rédigée la brochure pour la fondation ResPublica ou ont été estimées les conséquences possibles d’une sortie de l’euro, une bonne part des discussions qui se sont déroulées avec Cédric Durand et Philippe Murer, les deux autres co-auteurs de cette dite brochure, portaient justement sur l’ampleur des gains que l’on pouvait attendre d’une telle sortie. Les premiers résultats donnés automatiquement par le modèle nous avaient semblé fantastiques, au point que nous avons délibérément corrigé à la baisse certains de ces résultats. Même ainsi, une sortie de l’euro conduirait à près de 2 millions de créations d’emplois supplémentaires à court terme, rien que pour la catégorie « A » de la DARES. Avec les effets induits (plus d’emplois implique plus de cotisation, donc un retour à l’équilibre des régimes retraites et santé, donc la possibilité de baisser les cotisations individuelles, etc…), on arriverait en cinq ans à près de 3,5 millions de créations d’emplois, c’est à dire à un retour au plein emploi. Il faut avouer que l’on peut avoir des doutes sur de tels chiffres, parce que les changements d’échelle impliquent des changements dans les relations économiques.Mais, on peut considérer qu’une baisse du chômage des deux tiers constitue une prévision robuste et crédible. (Source:Sputnik)
Jacques Sapir s’en tient aux avantages économiques et financiers d’un rétablissement du Franc. Ce constat ne tient donc pas compte du retour à la fierté nationale que serait cette libération de la France. D’un point-de-vue politique, cela décupleraient les résultats, parce qu’il restituerait à la France son indépendance, le libre-choix de ses alliances, le retour au contrôle de ses frontières, en un mot la France retrouverait sa souveraineté, vis-à-vis de l’Union européenne, vassale de l’ordre unipolaire apatride sous égide US.
Il suffit de constater l’explosion de la place prise par la Russie dans le monde depuis qu’elle a secoué le joug de sa vassalité vis-à-vis de l’ordre mondial unipolaire américain.  Et ceci en dépit du blocus économique que les banksters lui ont opposé. C’est une question de volonté politique, comme la Russie le démontre chaque jour.

mercredi 25 novembre 2015

Polémique

  1. Annulation de la dette nationale pour les quatre cinquièmes, moratoire sur le solde[2]
  2. Rétablissement immédiat de la sécurité sur l’ensemble du territoire, selon les directives dictées par le gouvernement provisoire[3]
  3. Abolition programmée de la dette des particuliers en situation d’endettement passif
  4. Suppression de 175 taxes, impôts ou redevances, avec effet immédiat et rétroactif sur l’exercice 2013 (dont suppression immédiate de la CSG, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, Taxe Foncière, Droits de succession. Baisse de la TIPP[4] — prix à la pompe)
  5. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse de l’impôt sur les sociétés[5]
  6. Fermeture immédiate des frontières, sortie de l’accord de Shengen avec application immédiate et unilatérale.
  7. Contingentement de l’impôt territorial et national[6]
  • Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer)[7]
  1. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Shengen et rétablissement provisoire des frontières
  2. Suppression de 20 à 30 ministères ou missions de l’Etat (voir liste)[8]. Le Ministère de l’Education nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique[9]
  3. Défiscalisation temporaire de la production de l’agriculture et de la pêche[10] sous condition de productions à bilan kilocalorique positif, comme c’était le cas avant la révolution verte
  4. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion[11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques
  5. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe
Viennent ensuite les décisions suivantes :
  1. Généralisation du système référendaire. Consultation nationale étendue et de droit
  2. Rétablissement des budgets régaliens de l’Etat
  3. Dissolution des deux Chambres parlementaires
  4. Démantèlement législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative[12]. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen[13]
  5. Rétablissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives
  6. Diminution du nombre d’élus[14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants[15]
  7. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’Etat et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants[16], engagements déontologiques stricts
  8. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  9. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  10. Défiscalisation des métiers à revenu précaire
  11. Interdiction de la GPA et de l’adoption par les couples homosexuels, abandon de l’apariage homosexuel légal
  12. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons[17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  13. Etablissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe)[18]
  14. Suppression du département
  15. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales[19]
  16. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes[20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans
  17. Sortie de l’Europe légale[21], réhabilitation de la Banque de France
  18. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire[22]. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête.
  19. Défiscalisation des échanges locaux libres
  20. Dissolution d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI etc.[23] Fin effective du monopole de la Sécu[24]
  21. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles[25]
  22. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique[26] par consultation populaire
  23. Arrêt des subventions à la presse[27]
  24. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  25. Politique immigratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement[28]
  26. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière[29]
  27. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans[30]
  28. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  29. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures datées[31]
  30. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique[32]
  31. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux[33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  32. Relance de la production d’énergies alternatives (défiscalisation[34])
  33. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement[35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc.[36]
  34. Défiscalisation des échanges locaux libres
  35. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  36. Retrait général de l’Etat dans ses fonctions régaliennes
  37. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  38. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  39. Libération de l’initiative entrepreneuriale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu absolu[37]
  40. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  41. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  42. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audio-visuelle etc.)
  43. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  44. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes.
[1] Les institutions faisant opposition par la nature même de leur fonction, à l’une quelconque des propositions du présent appel, seront mises en sommeil pour une durée indéterminée. On décrétera un CDD de l’institutionalité pour intérêt supérieur de la nation, juste retour des choses. Les mesures présentées ici ont un financement précis. Afin de parer à toute manœuvre délibérée de la part des tenants du système, le gouvernement provisoire publiera l’intégralité de son plan financier une fois seulement en fonction.
[2] Il n’y a malheureusement pas d’autre moyen que d’annuler la dette, le peuple français ne disposant aucunement des moyens de la rembourser et refusant de grever l’avenir. L’annulation de la dette fera l’objet d’un acte solennel faisant primer l’homme sur les biens. Les banques feront leur affaire de la partie de la dette à leur charge, puisqu’elles ont contribué à la créer. Nous sommes conscients que cet apurage fera tomber des avoirs fictifs. Mais le monde économique n’aura qu’à se féliciter d’une reprise de l’activité réelle.
[3] Le gouvernement provisoire suspendra pour un temps donné toute la réglementation contraignant la sécurité — déficiente — du territoire, aussi bien en métropole qu’outre-mer. Les chefs de service seront systématiquement remplacés par le vote des fonctionnaires subalternes et seront tenus au résultat. Une action rapide, efficace et concertée avec le gouvernement provisoire visera à remettre en contact chaque citoyen avec l’autorité publique, le citoyen ayant un droit absolu à sa sécurité que les derniers gouvernements ont bafoué. Le gouvernement provisoire fera éventuellement appel à l’aide des citoyens durant cette période cruciale. Une large liberté d’action sera concédée aux meilleurs responsables de l’autorité publique.
[4] TICPE : Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques. Les particuliers pourront ainsi renouer avec une capacité de déplacement favorisant le retour à l’emploi. Les entreprises pétrolières trouvant là un apport, elles seront engagées dans un plan de renouvellement du transport tel que décrit plus bas (voir article)
[5] : on ramènera ce taux à 17%, par paliers ou non. Ce qui signifie que l’Etat ne payera plus pour tout et partout. En outre, les collectivités verront leur capacité à lever l’impôt limitée à la proportion moyenne stricte des revenus de leurs administrés, et le nombre des personnels sera dûment proportionnel au nombre d’habitants dans la moyenne haute des 5 pays les plus développés du monde. Des sanctions pénales à l’encontre des politiques sont prévues pour les dépassements ainsi que des peines d’inéligibilité définitive. Aucune immunité ne pourra y être opposée
[6] empêchement constitutionnel de créer de l’impôt sans définition précise. Créer de l’impôt est un délit.
[7] Les retraites minimales seront indexées sur un taux lié au coût de la vie. Les retraites maximales seront à nouveau libérées dès que la situation le permettra. Afin que le particulier ne soit pas confronté à une situation de banqueroute personnelle, les retraites abaissées seront corollaires d’une révision des échéances des emprunts et crédits auprès des banques.
[8] 1/ Solidarité, insertion et égalité des chances 2/ Immigration, asile et intégration 3/ Egalité des territoires, logement et ville 4/ Gestion des finances publiques et des ressources humaines 5/ Sports, Jeunesse, Education populaire et Vie associative 6/ Artisanat, Commerce et Tourisme 7/ Outre-Mer 8/ Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique 9/ Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt 10/ Droits des femmes 11/ Enseignement supérieur et de la Recherche 12/ Culture et de la Communication 13/ Engagements financiers de l’État 14/ Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social 15/ Ecologie, du Développement durable et de l’Energie 16/ Politique des territoires 17/ Redressement productif 18/ Aide publique au développement 19/ Anciens combattants, mémoire et liens avec la nation 20/ Conseil et contrôle de l’État 21/ Culture 22/ Direction de l’action du Gouvernement 23/ Écologie, développement et aménagement durables 24/ Économie 25/ Egalité des territoires, logement et ville 26/ Engagements financiers de l’État 27/ Régimes sociaux et de retraite 28/ Commerce extérieur 29/ Egalité des territoires et du Logement 30/ Santé 31/ Relations avec les collectivités territoriales. Ces ministères ne constituent pas un apport positif aux domaines qu’ils sont censés soutenir, au contraire ils leur coûtent. Le poids de la chose publique est un frein au développement et à l’adaptabilité des métiers et des secteurs. Avec les années, on a créé des ministères aberrants et toutes sortes de missions qui sont essentiellement des retraites dorées pour politiques battus aux élections.
[9] Il est absolument scandaleux et, il faut le dire, conforme aux exigences de la Franc-maçonnerie qui la gouverne, que le ministère ose se mêler d’éduquer ! Le ministère est censé instruire, et ne JAMAIS se mêler de ce qui relève du droit fondamental et imprescriptible des parents. Cette honte couve un imposture du point de vue des compétences, une manipulation totalitaire, une mise en danger de l’enfant, un lavage de cerveau, une médicalisation sous-jacente qu’on constate partout, une mise en servage de chacun.
[10] considérée l’urgence de la situation, les paysans et pêcheurs sont totalement libérés de tout impôt, jusqu’à redressement de leur situation, qui passe naturellement par d’autres mesures, celle-ci ne suffisant pas.
[11] Pleven, Gayssot, Rocard etc. ainsi que les jurisprudences qui en découlent.
[12] les lois et décrets constituent un ensemble illisible pour les Français et d’ailleurs contradictoire. On reviendra à un socle législatif minimal, lisible, accessible.
[13] un plan de simplification et d’épuration législative s’impose. Il peut se faire sur 5 ans. Pour toute disposition hors texte, rétablissement de l’esprit des lois et de la justice s’imposera
[14] le nombre de députés par exemple peut être ramené de 577 à 25 sans dysfonctionnement, puisqu’il n’existe pas plus de 25 nuances politiques à l’Assemblée. Le Sénat sera utilement redéfini etc. Réductions similaires dans les Régions, les collectivités territoriales etc.
[15] dans une proportion équivalent à la moyenne des 5 pays les plus développés.
[16] attention, la France ne déclare pas tous ses fonctionnaires comme tels, ce sera le cas. Dans certains départements, il y a plus de fonctionnaires du ministère de l’Agriculture que d’agriculteurs. Ce n’est qu’un exemple
[17] on supprimera avantageusement les systèmes complexes de grades, échelons, cadres, cadres d’emploi et autre catégories…
[18] pour une meilleure représentativité
[19] il y aura désormais, en tout et pour tout, 6 lignes sur un bulletin de salaire
[20] il est anormal que des criminels ou des trafiquants puissent échapper à la Justice pour des raisons de procédures
[21] cela entraîne la fin d’une partie des financements de l’Europe par la France. Les accords et traités seront considérés au cas par cas. La France reste un pays attaché à l’Europe et maintient tous les accords favorables à sa sécurité, son économie, sa santé etc. ainsi qu’à ceux de ses alliés
[22] On recherchera l’interdiction de créer de la monnaie au-delà de x fois la possession réelle
[23] on s’appuiera sur les rapports successifs de la Cour des Comptes et des expertises indépendantes. Il s’agira d’aller vers une diminution drastique du nombre d’institutions, agences, bureaux, secrétariats, instituts, pôles financés par l’Etat, qui se comptent par dizaines de milliers et d’arrêter toute participation à de telles officines lorsqu’elles sont privées. La réalité de ces officines étant inconnue à l’heure actuelle des services même de l’Etat, il est impossible d’établir une projection chiffrée. Cependant, les dépenses qui leur sont attachées sont majoritairement non-rentables et d’une efficacité douteuse, comme la Cour l’a continuellement constaté, avec pourtant une retenue excessive. Ces officines sont surtout des retraites dorées pour politiques écartés par les électeurs. Dans le cas du RSI, celui-ci sera condamné à rembourser les sommes indues et à dédommager au double les victimes de ses rackets. Il sera ensuite dissout, étant illégal.
[24] : La fondation IFRAP, totalement indépendante de l’État rappelons-le, nous détaille un comparatif édifiant entre les systèmes de protection sociale européens pour les travailleurs non-salariés. Le RSI ne fait pas bonne figure comme on s’en doutait.
Taux : le taux français de cotisation est de loin le plus élevé, 46,5%, y compris CSG/CRDS, qui n’existe pas dans les autres pays. Il est complètement rigide.
Assiette : en France, le taux s’applique sur l’intégralité du revenu sans plafonnement aucun, et sans exemption non plus. La cotisation minima est variable, mais généralement élevée. Ce qui n’est pas le cas en Belgique, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, où les taux sont plafonnés ou dégressifs, ni en Allemagne où les primes d’assurance sont fixes. À noter qu’en France la CSG/CRDS s’applique sur le revenu et sur les cotisations sociales.
Risques couverts : le chômage, les arrêts de travail et maladies professionnelles ne sont pas couverts en France. La Suède couvre ces deux risques, et, comme l’Espagne, elle propose des options. En France, les cotisations payées par les poly-actifs et les retraités le sont à fonds perdus, ce qui n’est pas le cas général des autres pays.
Caractère obligatoire : total en France, où le RSI engage des poursuites contre les récalcitrants, et le signale sur son site internet. L’Allemagne ne rend obligatoire que la santé (l’assurance retraite n’est pas obligatoire !) et les taux du Royaume-Uni sont très faibles, laissant des options pour des assurances volontaires supplémentaires à la discrétion de l’indépendant.
Liberté de choix : inexistante en France, existe en Belgique, au Royaume-Uni pour les suppléments, et intégrale en Allemagne.
La proportion de travailleurs indépendants dans le total des actifs est bien supérieure chez nos voisins. Le RSI est une véritable machine à décourager les entrepreneurs.
[25] on pense ici au financement public de création d’établissements religieux qui contrevient à la laïcité
[26] ces subventions sont éminemment politiques pour l’heure actuelle et favorisent le clientélisme au frais des Français. On a ainsi les associations pour les loisirs des administrations financières qui touchent plus de 34 millions d’euros (6 millions pour l’ATSCAF et 28 pour l’EPAF), autrement dit des fonctionnaires du budget se sont autovoté de beaux avantages. 10% des associations touchent 514.000€ en moyenne quand 90% touchent 8486€ : richesse va avec privilèges. Une question posée : pourquoi demande-t-on implicitement à tous les contribuables de participer de façon directe au financement de la Fédération Française de Ski (près de 4 millions d’euros) ? Au total de cet immense gaspillage électoraliste, le gouvernement affiche un chiffre de 1.229.000€ en 2011 et 1.855.000€ en 2012, soit une évolution de 50% en un an ! chiffres déjà importants, mais on peut douter qu’il s’agisse de si peu, tant la gestion de l’Etat français est opaque.
[27] L’information doit être absolument libre et parfaitement encadrée par des dispositions légales qui la fassent sortir de cette situation où elle constitue un pouvoir limité par rien. Aucun pouvoir ne doit être sans limite
[28] stopper l’arrivée massive des populations qui décapitent leurs pays d’origine et refouler ceux qui ne sont pas dignes, par leurs activités mafieuses et délictuelles, de vivre en Europe
[29] les soins sont toujours prescrits, mais à la charge des patients étrangers ou, à défaut, de leur pays
[30] allègement de la charge sociale et du chômage, abaissement des charges de sécurité publique et de justice etc.
[31] une procédure ne pourra plus excéder certains délais sous peine de sanctions administratives
[32] les méthodes de police et de gendarmerie seront revisitées afin de facilité au maximum la prise en flagrant délit
[33] sont visés certains engrais ou produits de traitements agricoles (tels certains produits Monsanto, Bayer etc. qui ont défrayé la chronique et ont subi des tests référents au sein de l’OCDE)
[34] voir Suppression de 175 taxes en début de texte
[35] la France est le seul pays dans cette situation
[36] On retrouvera une situation légale ressemblant à celle des années 50
[37] à parité avec l’évolution du revenu moyen
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Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

A nous, le Peuple:
à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.
Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations.
Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.
La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publiques ont acheté vos libertés.
Jamais nos ancêtres ne l’auraient accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.
Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant dans d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.
Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinq.
Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux, finance sa perte.
Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.
On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.
Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.
Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, nous rétrocédions de l’autre main la liberté, la prospérité et la solidarité.
Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.
On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.
Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.
Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes.
Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.
Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.
Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.
Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.
Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.
Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.
Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.
On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.
Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.
On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.
Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.
Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.
Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.
Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.
Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.
Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.
Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.
En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.
N’en parlons plus. Agissons.
Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.
Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.
Nous sommes le peuple.
Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.
Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.
Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !
A présent, vous vous révoltez. Il était temps.
Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !
Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.
Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.
Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.
La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.
Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements irréels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.
Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.
Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.
Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.
Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.
Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.
Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.

mercredi 21 octobre 2015

Je ne paierai pas !

Le luxe que s'octroient la majorité de nos politiciens avec notre argent (celui que nous gagnons avec peine) n'a pas de limites, alors leurs moyens non plus n'ont de limites! Racketter les Français par les impôts, taxes, radars, etc. Dilapider le patrimoine national peu à peu... tout cela ne leur suffit pas: de temps à autre, ils ont besoin d'une cerise sur le gateau...



EDF

Quand impôts et taxes ne suffisent pas, il leur reste encore les "astuces" pour augmenter leur train de vie:

     Se faire rapidement quelques centaines de millions d'euros n'est pas toujours aussi facile qu'on le croit: taxes et impôts sont déjà poussés au maximum, les radars ne rapportent plus autant... difficile de ponctionner rapidement la population avec cela, alors il reste les entreprises dont ils sont les détenteurs.

     L'état (les politiciens) détient la majorité à l'EDF. Quand les politiciens sont les actionnaires majoritaires, ils font ce qu'ils veulent et peuvent mépriser les lois. Leur seule difficulté est de s'accorder entre eux, mais quand il ne reste qu'à partager le gateau, on trouve toujours à s'entendre...

     L'EDF a réalisé 3,7 milliards de bénéfices officiels en 2014 (tous les experts fiscaux s'accordent sur le fait que les bénéfices officiels représentent moins de 50% des bénéfices réels, le reste aboutit dans les paradis fiscaux). 
     Mais ce n'est pas suffisant pour nos actionnaires! Ils veulent encore plus de voitures de prestige, de palais au Maroc, de lofts à Manhattan, de Yachts, d'avions et hélicoptères privés, etc.etc. 
     Coup de baguette magique: et plus d'un milliard d'euros supplémentaires tombent dans leur escarcelle.
     Il suffit de donner l'apparence de sérieux (avis du Conseil d'Etat, Arrêté Ministériel) pour justifier une pratique qui, si les Français s'y soumettent, ouvrira une nouvelle porte aux ponctions arbitraires.

     Car réfléchissons un peu: la justification de cette "facture rectificative" est que l'EDF n'aurait pas perçu la totalité des bénéfices qu'elle aurait pu faire si elle avait augmenté ses tarifs depuis 2012!
     Est-ce que n'importe quelle autre compagnie jouissant d'un quasi monopole ne pourrait pas en faire autant, les compagnies de téléphone par exemple? 
     La vérité est que toute entreprise dont les politiciens sont propriétaires peut tout se permettre dans la mesure où elle a le pouvoir de priver le consommateur d'une fourniture vitale. Personne ne peut aujourd'hui vivre sans électricité, la menace de coupure permet donc tous les abus!

     La version soutenue par les politiciens ne serait valable que dans la mesure où EDF n'aurait pas fait de bénéfices !

     Dans le cas présent, ce n'est qu'une taxe déguisée, dont la finalité est de leur rapporter plus d'un milliard de bénéfice net supplémentaire !

Un jour, il faudra que les Français disent STOP !
Et ce jour pourrait bien être aujourd'hui:

Je ne paierai pas !

Les avocats  du CNTF préparent un recours juridique, et, en attendant, des courriers seront bientôt mis à disposition sur le site pour protéger des menaces de coupure tous ceux qui refusent de payer.

CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION 

Quand plusieurs pays commencent à libérer les brevets d'énergie libre, quand des plans apparaissent sur le net démontrant la validité de ces systèmes, il parait évident que sous peu le scandale éclatera et que 70 ans de rideau de fer sur ces brevets tomberont. Alors on ne paiera pas plus d'électricité pour la maison que d'essence pour la voiture... Est-ce que ce n'est pas une bonne raison pour ceux qui profitent de l'énergie fossile de ramasser le plus possible avant l'effondrement?

 



lundi 24 août 2015

Le mensonge Pasteur



Un article en provenance de « L’œil dévoilé » http://tvkasos-reportages.over-blog.com/article-le-plus-grand-menteur-franc-ma-on-il-y-a-un-nid-en-france-pasteur-louis-1822-1895-n-etait-pas-115456994.html

Le plus grand menteur franc-maçon Pasteur Louis (1822-1895) n'était pas médecin, ni même biologiste, il n'était que “agrégé-préparateur de chimie”

Publié le 18 Février 2013 par TV KA SOS'
Catégories : #Vaccin en France




L'imposture vaccinale

La France, pays de Descartes et de la rationalité scientifique est tombée dans une bien étrange assuétude : la dépendance aux vaccins. Si la France est bien la patrie de Descartes elle est aussi, pour son plus grand malheur, celle de Louis Pasteur !

La démonstration d’un fait scientifique par la méthode expérimentale ne repose que sur des mesures de laboratoire, reproductibles, vérifiées par d’autres scientifique et indiscutables.

Premier mensonge ou péché par omission : Contrairement à ce que croit une majorité de Français, Louis Pasteur (1822-1895) n'était pas médecin, ni même biologiste, il n'était que “agrégé-préparateur de chimie” sans que l’on en sache plus sur cette dénomination, et pas très bon dans sa spécialité... La seule chose qu'on ne peut pas lui enlever : c'était un travailleur acharné, il dormait moins de 4 heures par nuit. Dans les années 1850, Internet n'existait pas et Louis Pasteur était au courant de tout ce qui se passait dans le monde scientifique de l'époque. C'était un activiste, arriviste, il voulait la Légion d'Honneur et il l'a eue (en 1853) ! Louis Pasteur fut le seul Français, à ma connaissance, à avoir bénéficié de son vivant du titre de “bienfaiteur de l’humanité”. Mais, quand on creuse un peu, on se rend compte que la réalité est bien loin de la légende.

Tous les travaux que Pasteur s’attribua sans vergogne, furent en fait “copiés” sur d'autres scientifiques. La seule vraie découverte de Pasteur et dont personne ne parle jamais, c'est la serviette en papier jetable pour s'essuyer les mains. Pasteur était paranoïaque, il voyait des microbes partout, et il pensait, fort justement, qu'en s'essuyant deux fois les mains dans la même serviette on avait toujours les mains sales.

La vérité : Pasteur n'a jamais découvert aucun micro-organisme, à l’origine, il n’y croyait d’ailleurs pas, attribuant la maladie à “une faiblesse constitutionnelle” la découverte en incombe à un vrai biologiste : Antoine Béchamp (1816-1908) docteur en sciences, en médecine et en chimie et diplômé en pharmacie, dont en France, le nom est toujours interdit de citer. Antoine Béchamp avait appelé ces structures microscopiques : microzymas, ( 3.1 Antoine Béchamp et la théorie du microzyma). Pasteur les a rebaptisés : microbes “empruntant” ce nom au chirurgien Français Sédillot (1808-1875).qui fut le premier à l’utiliser.
Béchamp ne courait pas après la gloire, Pasteur si ! Béchamp ne fut pas dupe des manœuvres de Pasteur, car il écrivit : “Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie.”
Le théorème pasteurien : L’être humain, créature de Dieu est pure et sans souillure, la maladie ne peut donc être provoquée que par une “faiblesse constitutionnelle” puis, se ravisant, devant la démonstration évidente d’Antoine Béchamp sur l’origine de la maladie des vers à soie (sujet sur lequel ils travaillaient tous les deux), la maladie est provoquée par des “agents” extérieurs. En injectant cet agent dans le corps, on crée une réaction de défense qui protège de la maladie.
N’oublions pas qu’à cette époque (milieu du 19ème siècle) la médecine était d’essence religieuse, on croyait à la “force vitale” (impossibilité de passer du règne “minéral” au règne “organique” sans cette “force vitale” nécessairement d’origine divine) et “à la génération spontanée” le cadavre d’un animal pourrit car il génère des éléments destructeurs sortis de nulle part (on croyait que les asticots de mouche étaient générés par le cadavre) ! Béchamp n’était ni “vitaliste” ni ne croyait à la génération spontanée, ce qui n’était pas le cas de Pasteur, tout du moins à ses débuts ! Pasteur était opportuniste et savait s’adapter à “l’air du temps” (il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis !).

De ce théorème (jamais démontré) découle donc le corollaire (pas plus démontré) : pour lutter contre les maladies et les épidémies, il suffit donc de “vacciner” (terme emprunté à Jenner) massivement les populations avec le ou les agents responsables de ces maladies.
A ce stade, on fait tout simplement l’impasse totale des connaissances que nous avons aujourd’hui sur le système immunitaire humain et la génétique en général. Ce raisonnement implique que tous les humains possèdent le même système immunitaire et que celui-ci répond d’une manière identique aux mêmes sollicitations extérieures. L'immunité de troupeau, prônée par Pasteur et ses disciples n'existe tout simplement pas, c'est une hérésie scientifique !
L’hérésie scientifique : Au 21ème siècle, nous raisonnons, dans ce domaine particulier, avec des théories élaborées au 19ème siècle, et que personne ne semble remettre en cause ? il s’agit tout simplement d’une aberration de l’esprit humain et de la négation de nos connaissances scientifiques actuelles !

Le mensonge :
Ce théorème induit un deuxième corollaire : chaque “micro-organisme pathogène” est responsable d'une maladie parfaitement identifiée.
Faux : en matière scientifique la causalité unique n’existe pas, tout événement observable est le produit d’un enchaînement de causes. La suppression d’une seule de ces causes rend l’événement impossible !

D'abord, qu'est-ce qu'une maladie ? à ce jour, je n'ai encore rencontré personne qui soit capable de répondre à cette question élémentaire. Les sommités médicales que j'ai pu interroger sur ce sujet, n'ont pu me fournir qu'un sourire gêné en guise de réponse. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie.

Le mensonge :
Pasteur a prétendu avoir vu le virus de la rage avec son petit microscope optique. Pour observer le virus de la rage, il faut un microscope électronique car la taille du virus est inférieure au pouvoir discriminant du microscope optique.

Le mensonge :
les vaccins ont permis de mettre un terme aux grandes épidémies qui dévastaient l’humanité ! 

La vérité :

Aux 13ème et 14ème siècle, l'Europe fut dévastée par plusieurs épidémies de peste qui tuèrent des centaines de milliers d’individus. Ces épidémies disparurent pour ne jamais revenir, qui a inventé le vaccin contre la peste ?

Le mensonge :

la variole a été éliminée de la surface de la Terre grâce au vaccin.

La vérité :
c'est l'OMS elle-même, pourtant entièrement à la solde des labos pharmaceutiques qui, en 1980, lança un appel à tous ses adhérents pour arrêter les vaccinations antivarioliques et détruire les souches virales encore détenues dans certains labos. Les dernières campagnes de vaccination s'étaient toutes soldées par une poussé épidémique quel que soit le pays où eut lieu cette campagne ! Le mensonge :

Les vaccins sont inoffensifs et les accidents qu'on attribue aux vaccins ne sont que de tristes coïncidences.

La vérité :
les vaccins sont des médicaments au même titre que les autres molécules de la pharmacopée et, à ce titre, ils sont dangereux et toxiques. Les médicaments tuent en moyenne 20 000 personnes par an en France, et les vaccins ne tueraient personne ? C'est un miracle, et dans les labos, les miracles, ça n'existe pas !

Se mettre dans la tête qu'on va “éradiquer” telle ou telle maladie, ou le virus responsable est une illusion dangereuse. Chaque fois que les humains vident une niche écologique d'un de ses occupants, la Nature ayant horreur du vide, la niche va être occupée par un nouvel habitant souvent pire que le précédent. Tout ce que nous risquons, c'est d'éradiquer l'espèce humaine de la surface de la planète, mais la Nature se passe très bien de nous !

Ce que contient réellement un vaccin : une partie dite “atténuée” d'un virus ou bactérie que l'on croit responsable d'une maladie, des éléments de manipulations génétiques comme les ARN ou ADN double brin. Des traces protéiques du milieu de culture, car on ne sait pas filtrer totalement la fraction vaccinale. Ce qui veut dire que si les protéines de culture sont polluées pour une raison ou une autre, le vaccin le sera aussi. Il contient également des adjuvants tels l'hydroxyde d'aluminium qui se révèle un redoutable toxique puisqu'il est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Le cerveau est le seul organe humain qui soit stérile et qui doit le rester, y introduire un produit chimique amène des accidents graves. Pourquoi retrouve-t-on des traces d'aluminium dans les plaques amyloïdes de la maladie d'Alzheimer ? Les coupes qui servirent en 1906 à Alzheimer à décrire la maladie qui porte son nom existent toujours, elles ont été examinées de nouveau avec nos techniques modernes et il n'y a aucune trace d'aluminium dans ces coupes. L'aluminium trouvé dans les cerveaux (examen post-mortem) analysés est … celui des vaccins !
On y trouve aussi des traces de formaldéhyde, cancérogène de 1ère classe, des sels de mercure (stabilisants) le mercure est un neurotoxique reconnu, personne ne peut le mettre en doute.

Le “vaccinalisme” est une manie française. Chaque petit Français doit recevoir entre 0 et 18 ans pas moins de 60 injections vaccinales.
Les trucages des labos : il y a en France des obligations vaccinales, les labos s'ingénient à mélanger dans la même ampoule les obligatoires avec les autres, il faut bien faire marcher le commerce ! Nous avions essayé de mettre au point une “dose” magistrale qui contenait 10 virus ! Ils se sont bouffés entre eux, on n'a pas pu dépasser 6, ce fut “l'Hexavac” une belle réussite commerciale et un calvaire pour les vaccinés. Mis sur le marché en 2003 il a été retiré, sur recommandation de l'Afssaps en 2005.

La théorie et le mythe pasteuriens ne souffrent en France aucune discussion ni aucune contestation. La vaccination de masse est devenue une religion, on y croit sans voir et sans preuve “Heureux celui qui croira sans avoir vu” et ce sont les opposants, majoritairement des scientifiques qui passent pour des illuminés, membres de sectes inavouées et inavouables.

J'avoue, j'appartiens à cette redoutable secte des chercheurs qui ne croient pas aux discours majoritaires. Claude Bernard, qui reste mon maître à penser en la matière, écrivait dans “Introduction à la médecine expérimentale” (1865) “Le scientifique est d'abord un douteur …” où est le doute aujourd’hui ?

Ce fut aussi Claude Bernard qui arbitra le match : Pasteur vs Béchamp et, à la fin de sa vie, il eut cette phrase remarquable : “ Béchamp a raison, le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !” (phrase que l’on attribue aussi à Pasteur, donnant raison à Béchamp, ce qui est proprement impensable) Sur la fin de sa vie, Pasteur eut un AVC qui le laissa hémiplégique, il perdit complètement la raison et se lança dans des théories encore plus folles et plus fausses que celles de ses débuts !

L'organisme humain est une merveille d'équilibre, entre ses propres cellules et des cellules étrangères, virus et autres bactéries, c'est la rupture de cet équilibre qui provoque ce que l'on appelle “maladie” le système immunitaire n'est pas un jouet. Vacciner un bien-portant et l'on en fait un malade chronique !

Le mensonge :
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vaccination !
La vérité :
ces trois maladies sont des maladies sans immunité, les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine.

Le mensonge :
la vaccination ROR a permis de supprimer les maladies infantiles !

La vérité :
ces maladies dites “infantiles” servent à la maturation du système immunitaire de l'enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l'avaient eu enfants, l'attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants vaccinés.

Le mensonge :
Nos enfants deviendront centenaires !

La vérité :
les centenaires d'aujourd'hui sont des personnes qui sont nées dans les années 1910, époque où il n'y avait pas de vaccinations obligatoires ! On en reparlera dans quelques années.

Toutes les études internationales arrivent à la même conclusion : les enfants à jour des vaccinations obligatoires sont globalement en plus mauvaise santé que ceux qui n'ont jamais été vaccinés.

Le mensonge :
il faut vacciner les personnes fragiles pour les protéger.

La vérité :
toute personne atteinte d'un déficit immunitaire ou souffrant d'une pathologie auto-immune est une contre-indication majeure à toute forme de vaccination ! Pour qu'une vaccination soit réellement efficace, il faudrait faire un groupage HLA à chaque individu pour connaître l'état exact de ses défenses immunitaires. Trop cher ! Répondent les autorités dites “compétentes” et on vit avec les accidents vaccinaux qui ne sont officiellement que de la faute à pas de chance ou à des coïncidences malencontreuses.

L'aveuglement des autorités sanitaires françaises nous conduit à une catastrophe sanitaire majeure qui a déjà commencé à bas bruit. Tous ces cas d'autisme soudain, d'hyperactivité, de cancers infantiles ne seraient dus qu'à des problèmes environnementaux? L'air pollué ? La malbouffe ? Disons que ça se cumule et comme l'on ne connaît pas les synergies entre tous ces éléments, la prudence voudrait qu'on arrête les frais et que l'on ne sacrifie plus nos enfants et petits-enfants sur l'autel du profit industriel !

En conclusion : le principe de la vaccination de masse ne repose sur aucune base scientifique indiscutable et démontrée.

Marc JASPARD, Chimiste – Biochimiste
05 10 2012


jeudi 9 juillet 2015

Le Pr Joyeux bientôt radié, un de plus!

    Comme partout ailleurs dans le monde, lorsqu'un médecin dénonce les atteintes à la santé pour le profit des grands laboratoires américains, en particulier ceux du cartel nazi IG Farben, il est menacé d'interdiction d'exercer, vilipendé par les politiciens aux ordres de ces labos. Ils sont des milliers à avoir offert des traitements simples et peu coûteux contre le cancer et autres maladies chroniques et graves, ils ont TOUS été interdits d'exercice, voire suicidés ou accidentés. Quand le grand public réagira-t-il enfin en comprenant que l'intérêt de ces laboratoires est de nous voir malades et non en bonne santé, et que pour des maladies chroniques et graves, vacciner les jeunes enfants a toujours été la meilleure méthode ?!

    Le Pr Joyeux n'a jamais osé dire tout ce qu'il sait sur les vaccinations, il avance à très petits pas prudents pour essayer d'éveiller les gens, et cela suffit déjà pour que toute la machine politicienne se mette en marche contre lui: ministère de la "santé", conseil de l'ordre, tous ces "représentants" de ces labos, défenseurs de leurs commissions personnelles, se déchainent! Espérons pour lui qu'un "accident" ou un "suicide" ne mettra pas fin à la polémique.

 

Polémique santé publique: 

La réponse du Professeur Henri Joyeux au Conseil National de l’Ordre des Médecins…




Réponse au conseil national de l’ordre des médecins (cnom) qui porte plainte

Professeur Henri Joyeux



Juillet 2015



Une plainte et l’impossibilité de poursuivre ma mission de consultant à l’ICM de Montpellier

C’est le 18 juin 2015 que le CNOM s’est réuni à Paris pour examiner les 2 pétitions diffusées sur les réseaux sociaux concernant respectivement :


- l’une la vaccination contre les cancers du col de l’utérus, que les laboratoires cherchent à généraliser dès l’âge de 9 ans chez garçons et filles,
- l’autre la rupture de stock calculée par les fabricants du vaccin trivalent contre Diphtérie-Tétanos-Polio (DTP) obligatoire selon la loi ; ceci entraînant l’obligation pour les familles d’utiliser deux mois après la naissance un vaccin Héxavalent contre 3 maladies supplémentaires : l’hépatite B, la coqueluche ainsi que les maladies dues à l’Hémophilus Influenzae de type b. Une belle arnaque !

J’ai donc reçu une plainte du CNOM qui a décidé de saisir la Chambre disciplinaire de première instance du conseil de l’ordre de la région Languedoc-Roussilon à laquelle j’appartiens.

Simultanément, je recevais la consigne du directeur de l’Institut du Cancer de Montpellier (ICM) dans lequel je travaille depuis 1970, de stopper les consultations à partir du 7 juillet à l’issue d’un contrat d’une année qui ne sera donc pas renouvelé.

Ainsi, les patients déjà inscrits pour mes consultations des prochains mois seront vus par d’autres médecins, ce qui me rassure, car l’équipe de l’ICM est de très grande qualité.

Sur ordre de qui me direz-vous ? Probablement de la ministre, qui n’apprécie pas mes propos concernant les vaccins, alors qu’elle écrivait noir sur blanc la même chose sur les adjuvants lors de la dernière campagne présidentielle :

« De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium. […] La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l’objet d’une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu’elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que cela était le cas jusqu’en 2008. » [1]

Au lieu de reconnaître ses propres inquiétudes, auxquelles les miennes font écho, la ministre préfère dériver sur d’autres sujets sans rapport avec la vaccination pour tenter de me faire taire.

Que me reproche le CNOM ?

De publier sur des sites internet des articles à charge contre la politique vaccinale de l’État en particulier du haut conseil de santé publique. Voici les arguments :

« preuves scientifiques non établies, discours alarmistes », car « le médecin est au service de la santé publique » avec rappel des « principes de moralité et de probité », « nécessité de concourir à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé des individus et de l’éducation sanitaire », « obligation de prudence et soucis de répercussions des propos auprès du public », « interdiction de déconsidérer la profession » selon un grand nombre d’articles du Code de la santé publique que je connais bien.

Pourquoi pas de réponses à ses questions et à celles de très nombreuses familles ?

La ministre, comme ses collaborateurs et subordonnés, cherche à me faire passer parmi les excessifs, activistes réactionnaires systématiquement contre les vaccins. Cela est entièrement faux et démontre qu’il s’agit d’un faux procès.

Leur seul objectif est de me faire taire par les moyens légaux afin que je rentre dans le moule de ceux qui leur proposent une vaste planification de santé publique imposée à tous, comme ce fut le cas au siècle dernier dans des dictatures bien connues, y compris au sujet des vaccinations. Et il est interdit de sortir du rang.

Ainsi la propagande médiatique très bien orchestrée économiquement peut diffuser sans discussion des informations quasiment publicitaires, destinées à faire peur aux familles pour imposer la vaccination généralisée, sans expliquer qu’il y a d’autres moyens qui ne coûtent rien pour éviter certaines de ces maladies.

C’est sans compter sur les réseaux sociaux qui ont le grand avantage d’informer très rapidement le maximum de personnes sans passer par les médias officiels ou qui ont pignon sur rue et sont fort gênés de donner des informations qui ne vont pas dans le sens de leurs ”sponsors”.

Alors je ne suis pas étonné de ne recevoir aucune réponse aux deux questions élémentaires qui se posent :


le vaccin contre les cancers du col de l’utérus est-il nécessaire dès 9 ans et sans dangers pour les enfants ?
pourquoi imposer à des nourrissons de 2 mois un vaccin Hexavalent qui n’est pas obligatoire et qui contient des adjuvants dangereux pour la santé ?

Mes premières réponses pour la santé publique

Je maintiens que je ne suis pas opposé à la vaccination obligatoire DTP et que les laboratoires doivent fabriquer à nouveau ce vaccin sans adjuvant dangereux pour la santé. De très nombreuses familles l’attendent.

Je maintiens que les familles n’ont pas l’assurance d’absence de dangers immédiats ou plus tard liés à la vaccination contre les cancers du col de l’utérus et l’hépatite B. On ne tient pas à les faire connaître, ce qui fait le jeu des laboratoires et de lobbies ayant des intérêts financiers énormes.

Je maintiens qu’il n’est pas nécessaire de vacciner un enfant de 2 mois contre l’hépatite B à moins qu’un ou ses deux parents soient porteurs du virus.

Je maintiens que je continuerai à informer les familles qui ont droit à une information juste, prudente, car même si je respecte l’État comme citoyen, ma liberté d’expression reste entière pour informer clairement afin de que les décisions soient prises de manière libre, autonome et responsable.

Je connais parfaitement le serment d’Hippocrate qui engage le médecin à protéger le malade et sa famille, pour l’avoir prêté avec confiance en 1972. Sous aucun prétexte je n’en dévierai, sans n’avoir de leçon à donner à personne.

Je n’ai aucune leçon de moralité et de probité à recevoir, ayant toujours exercé mon métier de chirurgien cancérologue sans jamais avoir eu de relations financières avec les patients, et sans la moindre plainte d’aucun d’entre eux.

Quant au Conseil de l’ordre des médecins, je vois bien qu’il est plus aux ordres de l’État et des lobbies qu’au service des patients pour les informer loyalement et les protéger. Il ne faut donc pas s’étonner que la profession médicale soit de plus en plus contestée, voire décriée par l’État lui même quand ça l’arrange.

Le CNOM une des institutions représentant le corps médical, essentiellement responsable des sujets éthiques, a trop souvent défendu les intérêts de médecins influents. Il a malheureusement dans son histoire en plusieurs circonstances apporté son soutien et même couvert certains médecins sans scrupule et exploiteurs de situations de détresse humaine.

Je reste donc à la disposition des familles et des enfants pour leur meilleure santé

Pour l’instant, continuez à faire signer la pétition autour de vous, c’est la seule solution pour faire bouger les pouvoirs publics et les laboratoires très attentifs à leurs intérêts respectifs.

La pétition se trouve sur le site de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN) : Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !

Bien cordialement à tous,

Professeur Henri Joyeux