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mercredi 25 novembre 2015

Polémique

  1. Annulation de la dette nationale pour les quatre cinquièmes, moratoire sur le solde[2]
  2. Rétablissement immédiat de la sécurité sur l’ensemble du territoire, selon les directives dictées par le gouvernement provisoire[3]
  3. Abolition programmée de la dette des particuliers en situation d’endettement passif
  4. Suppression de 175 taxes, impôts ou redevances, avec effet immédiat et rétroactif sur l’exercice 2013 (dont suppression immédiate de la CSG, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, Taxe Foncière, Droits de succession. Baisse de la TIPP[4] — prix à la pompe)
  5. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse de l’impôt sur les sociétés[5]
  6. Fermeture immédiate des frontières, sortie de l’accord de Shengen avec application immédiate et unilatérale.
  7. Contingentement de l’impôt territorial et national[6]
  • Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer)[7]
  1. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Shengen et rétablissement provisoire des frontières
  2. Suppression de 20 à 30 ministères ou missions de l’Etat (voir liste)[8]. Le Ministère de l’Education nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique[9]
  3. Défiscalisation temporaire de la production de l’agriculture et de la pêche[10] sous condition de productions à bilan kilocalorique positif, comme c’était le cas avant la révolution verte
  4. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion[11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques
  5. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe
Viennent ensuite les décisions suivantes :
  1. Généralisation du système référendaire. Consultation nationale étendue et de droit
  2. Rétablissement des budgets régaliens de l’Etat
  3. Dissolution des deux Chambres parlementaires
  4. Démantèlement législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative[12]. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen[13]
  5. Rétablissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives
  6. Diminution du nombre d’élus[14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants[15]
  7. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’Etat et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants[16], engagements déontologiques stricts
  8. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  9. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  10. Défiscalisation des métiers à revenu précaire
  11. Interdiction de la GPA et de l’adoption par les couples homosexuels, abandon de l’apariage homosexuel légal
  12. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons[17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  13. Etablissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe)[18]
  14. Suppression du département
  15. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales[19]
  16. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes[20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans
  17. Sortie de l’Europe légale[21], réhabilitation de la Banque de France
  18. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire[22]. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête.
  19. Défiscalisation des échanges locaux libres
  20. Dissolution d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI etc.[23] Fin effective du monopole de la Sécu[24]
  21. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles[25]
  22. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique[26] par consultation populaire
  23. Arrêt des subventions à la presse[27]
  24. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  25. Politique immigratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement[28]
  26. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière[29]
  27. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans[30]
  28. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  29. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures datées[31]
  30. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique[32]
  31. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux[33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  32. Relance de la production d’énergies alternatives (défiscalisation[34])
  33. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement[35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc.[36]
  34. Défiscalisation des échanges locaux libres
  35. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  36. Retrait général de l’Etat dans ses fonctions régaliennes
  37. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  38. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  39. Libération de l’initiative entrepreneuriale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu absolu[37]
  40. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  41. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  42. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audio-visuelle etc.)
  43. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  44. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes.
[1] Les institutions faisant opposition par la nature même de leur fonction, à l’une quelconque des propositions du présent appel, seront mises en sommeil pour une durée indéterminée. On décrétera un CDD de l’institutionalité pour intérêt supérieur de la nation, juste retour des choses. Les mesures présentées ici ont un financement précis. Afin de parer à toute manœuvre délibérée de la part des tenants du système, le gouvernement provisoire publiera l’intégralité de son plan financier une fois seulement en fonction.
[2] Il n’y a malheureusement pas d’autre moyen que d’annuler la dette, le peuple français ne disposant aucunement des moyens de la rembourser et refusant de grever l’avenir. L’annulation de la dette fera l’objet d’un acte solennel faisant primer l’homme sur les biens. Les banques feront leur affaire de la partie de la dette à leur charge, puisqu’elles ont contribué à la créer. Nous sommes conscients que cet apurage fera tomber des avoirs fictifs. Mais le monde économique n’aura qu’à se féliciter d’une reprise de l’activité réelle.
[3] Le gouvernement provisoire suspendra pour un temps donné toute la réglementation contraignant la sécurité — déficiente — du territoire, aussi bien en métropole qu’outre-mer. Les chefs de service seront systématiquement remplacés par le vote des fonctionnaires subalternes et seront tenus au résultat. Une action rapide, efficace et concertée avec le gouvernement provisoire visera à remettre en contact chaque citoyen avec l’autorité publique, le citoyen ayant un droit absolu à sa sécurité que les derniers gouvernements ont bafoué. Le gouvernement provisoire fera éventuellement appel à l’aide des citoyens durant cette période cruciale. Une large liberté d’action sera concédée aux meilleurs responsables de l’autorité publique.
[4] TICPE : Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques. Les particuliers pourront ainsi renouer avec une capacité de déplacement favorisant le retour à l’emploi. Les entreprises pétrolières trouvant là un apport, elles seront engagées dans un plan de renouvellement du transport tel que décrit plus bas (voir article)
[5] : on ramènera ce taux à 17%, par paliers ou non. Ce qui signifie que l’Etat ne payera plus pour tout et partout. En outre, les collectivités verront leur capacité à lever l’impôt limitée à la proportion moyenne stricte des revenus de leurs administrés, et le nombre des personnels sera dûment proportionnel au nombre d’habitants dans la moyenne haute des 5 pays les plus développés du monde. Des sanctions pénales à l’encontre des politiques sont prévues pour les dépassements ainsi que des peines d’inéligibilité définitive. Aucune immunité ne pourra y être opposée
[6] empêchement constitutionnel de créer de l’impôt sans définition précise. Créer de l’impôt est un délit.
[7] Les retraites minimales seront indexées sur un taux lié au coût de la vie. Les retraites maximales seront à nouveau libérées dès que la situation le permettra. Afin que le particulier ne soit pas confronté à une situation de banqueroute personnelle, les retraites abaissées seront corollaires d’une révision des échéances des emprunts et crédits auprès des banques.
[8] 1/ Solidarité, insertion et égalité des chances 2/ Immigration, asile et intégration 3/ Egalité des territoires, logement et ville 4/ Gestion des finances publiques et des ressources humaines 5/ Sports, Jeunesse, Education populaire et Vie associative 6/ Artisanat, Commerce et Tourisme 7/ Outre-Mer 8/ Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique 9/ Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt 10/ Droits des femmes 11/ Enseignement supérieur et de la Recherche 12/ Culture et de la Communication 13/ Engagements financiers de l’État 14/ Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social 15/ Ecologie, du Développement durable et de l’Energie 16/ Politique des territoires 17/ Redressement productif 18/ Aide publique au développement 19/ Anciens combattants, mémoire et liens avec la nation 20/ Conseil et contrôle de l’État 21/ Culture 22/ Direction de l’action du Gouvernement 23/ Écologie, développement et aménagement durables 24/ Économie 25/ Egalité des territoires, logement et ville 26/ Engagements financiers de l’État 27/ Régimes sociaux et de retraite 28/ Commerce extérieur 29/ Egalité des territoires et du Logement 30/ Santé 31/ Relations avec les collectivités territoriales. Ces ministères ne constituent pas un apport positif aux domaines qu’ils sont censés soutenir, au contraire ils leur coûtent. Le poids de la chose publique est un frein au développement et à l’adaptabilité des métiers et des secteurs. Avec les années, on a créé des ministères aberrants et toutes sortes de missions qui sont essentiellement des retraites dorées pour politiques battus aux élections.
[9] Il est absolument scandaleux et, il faut le dire, conforme aux exigences de la Franc-maçonnerie qui la gouverne, que le ministère ose se mêler d’éduquer ! Le ministère est censé instruire, et ne JAMAIS se mêler de ce qui relève du droit fondamental et imprescriptible des parents. Cette honte couve un imposture du point de vue des compétences, une manipulation totalitaire, une mise en danger de l’enfant, un lavage de cerveau, une médicalisation sous-jacente qu’on constate partout, une mise en servage de chacun.
[10] considérée l’urgence de la situation, les paysans et pêcheurs sont totalement libérés de tout impôt, jusqu’à redressement de leur situation, qui passe naturellement par d’autres mesures, celle-ci ne suffisant pas.
[11] Pleven, Gayssot, Rocard etc. ainsi que les jurisprudences qui en découlent.
[12] les lois et décrets constituent un ensemble illisible pour les Français et d’ailleurs contradictoire. On reviendra à un socle législatif minimal, lisible, accessible.
[13] un plan de simplification et d’épuration législative s’impose. Il peut se faire sur 5 ans. Pour toute disposition hors texte, rétablissement de l’esprit des lois et de la justice s’imposera
[14] le nombre de députés par exemple peut être ramené de 577 à 25 sans dysfonctionnement, puisqu’il n’existe pas plus de 25 nuances politiques à l’Assemblée. Le Sénat sera utilement redéfini etc. Réductions similaires dans les Régions, les collectivités territoriales etc.
[15] dans une proportion équivalent à la moyenne des 5 pays les plus développés.
[16] attention, la France ne déclare pas tous ses fonctionnaires comme tels, ce sera le cas. Dans certains départements, il y a plus de fonctionnaires du ministère de l’Agriculture que d’agriculteurs. Ce n’est qu’un exemple
[17] on supprimera avantageusement les systèmes complexes de grades, échelons, cadres, cadres d’emploi et autre catégories…
[18] pour une meilleure représentativité
[19] il y aura désormais, en tout et pour tout, 6 lignes sur un bulletin de salaire
[20] il est anormal que des criminels ou des trafiquants puissent échapper à la Justice pour des raisons de procédures
[21] cela entraîne la fin d’une partie des financements de l’Europe par la France. Les accords et traités seront considérés au cas par cas. La France reste un pays attaché à l’Europe et maintient tous les accords favorables à sa sécurité, son économie, sa santé etc. ainsi qu’à ceux de ses alliés
[22] On recherchera l’interdiction de créer de la monnaie au-delà de x fois la possession réelle
[23] on s’appuiera sur les rapports successifs de la Cour des Comptes et des expertises indépendantes. Il s’agira d’aller vers une diminution drastique du nombre d’institutions, agences, bureaux, secrétariats, instituts, pôles financés par l’Etat, qui se comptent par dizaines de milliers et d’arrêter toute participation à de telles officines lorsqu’elles sont privées. La réalité de ces officines étant inconnue à l’heure actuelle des services même de l’Etat, il est impossible d’établir une projection chiffrée. Cependant, les dépenses qui leur sont attachées sont majoritairement non-rentables et d’une efficacité douteuse, comme la Cour l’a continuellement constaté, avec pourtant une retenue excessive. Ces officines sont surtout des retraites dorées pour politiques écartés par les électeurs. Dans le cas du RSI, celui-ci sera condamné à rembourser les sommes indues et à dédommager au double les victimes de ses rackets. Il sera ensuite dissout, étant illégal.
[24] : La fondation IFRAP, totalement indépendante de l’État rappelons-le, nous détaille un comparatif édifiant entre les systèmes de protection sociale européens pour les travailleurs non-salariés. Le RSI ne fait pas bonne figure comme on s’en doutait.
Taux : le taux français de cotisation est de loin le plus élevé, 46,5%, y compris CSG/CRDS, qui n’existe pas dans les autres pays. Il est complètement rigide.
Assiette : en France, le taux s’applique sur l’intégralité du revenu sans plafonnement aucun, et sans exemption non plus. La cotisation minima est variable, mais généralement élevée. Ce qui n’est pas le cas en Belgique, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, où les taux sont plafonnés ou dégressifs, ni en Allemagne où les primes d’assurance sont fixes. À noter qu’en France la CSG/CRDS s’applique sur le revenu et sur les cotisations sociales.
Risques couverts : le chômage, les arrêts de travail et maladies professionnelles ne sont pas couverts en France. La Suède couvre ces deux risques, et, comme l’Espagne, elle propose des options. En France, les cotisations payées par les poly-actifs et les retraités le sont à fonds perdus, ce qui n’est pas le cas général des autres pays.
Caractère obligatoire : total en France, où le RSI engage des poursuites contre les récalcitrants, et le signale sur son site internet. L’Allemagne ne rend obligatoire que la santé (l’assurance retraite n’est pas obligatoire !) et les taux du Royaume-Uni sont très faibles, laissant des options pour des assurances volontaires supplémentaires à la discrétion de l’indépendant.
Liberté de choix : inexistante en France, existe en Belgique, au Royaume-Uni pour les suppléments, et intégrale en Allemagne.
La proportion de travailleurs indépendants dans le total des actifs est bien supérieure chez nos voisins. Le RSI est une véritable machine à décourager les entrepreneurs.
[25] on pense ici au financement public de création d’établissements religieux qui contrevient à la laïcité
[26] ces subventions sont éminemment politiques pour l’heure actuelle et favorisent le clientélisme au frais des Français. On a ainsi les associations pour les loisirs des administrations financières qui touchent plus de 34 millions d’euros (6 millions pour l’ATSCAF et 28 pour l’EPAF), autrement dit des fonctionnaires du budget se sont autovoté de beaux avantages. 10% des associations touchent 514.000€ en moyenne quand 90% touchent 8486€ : richesse va avec privilèges. Une question posée : pourquoi demande-t-on implicitement à tous les contribuables de participer de façon directe au financement de la Fédération Française de Ski (près de 4 millions d’euros) ? Au total de cet immense gaspillage électoraliste, le gouvernement affiche un chiffre de 1.229.000€ en 2011 et 1.855.000€ en 2012, soit une évolution de 50% en un an ! chiffres déjà importants, mais on peut douter qu’il s’agisse de si peu, tant la gestion de l’Etat français est opaque.
[27] L’information doit être absolument libre et parfaitement encadrée par des dispositions légales qui la fassent sortir de cette situation où elle constitue un pouvoir limité par rien. Aucun pouvoir ne doit être sans limite
[28] stopper l’arrivée massive des populations qui décapitent leurs pays d’origine et refouler ceux qui ne sont pas dignes, par leurs activités mafieuses et délictuelles, de vivre en Europe
[29] les soins sont toujours prescrits, mais à la charge des patients étrangers ou, à défaut, de leur pays
[30] allègement de la charge sociale et du chômage, abaissement des charges de sécurité publique et de justice etc.
[31] une procédure ne pourra plus excéder certains délais sous peine de sanctions administratives
[32] les méthodes de police et de gendarmerie seront revisitées afin de facilité au maximum la prise en flagrant délit
[33] sont visés certains engrais ou produits de traitements agricoles (tels certains produits Monsanto, Bayer etc. qui ont défrayé la chronique et ont subi des tests référents au sein de l’OCDE)
[34] voir Suppression de 175 taxes en début de texte
[35] la France est le seul pays dans cette situation
[36] On retrouvera une situation légale ressemblant à celle des années 50
[37] à parité avec l’évolution du revenu moyen
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Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

A nous, le Peuple:
à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.
Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations.
Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.
La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publiques ont acheté vos libertés.
Jamais nos ancêtres ne l’auraient accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.
Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant dans d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.
Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinq.
Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux, finance sa perte.
Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.
On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.
Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.
Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, nous rétrocédions de l’autre main la liberté, la prospérité et la solidarité.
Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.
On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.
Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.
Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes.
Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.
Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.
Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.
Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.
Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.
Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.
Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.
On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.
Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.
On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.
Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.
Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.
Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.
Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.
Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.
Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.
Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.
En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.
N’en parlons plus. Agissons.
Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.
Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.
Nous sommes le peuple.
Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.
Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.
Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !
A présent, vous vous révoltez. Il était temps.
Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !
Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.
Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.
Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.
La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.
Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements irréels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.
Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.
Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.
Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.
Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.
Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.
Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.